39,97% du suffrage exprimé. C'est le score réalisé par l'UP malgré les nombreux cas de fraude avérée et perpétrée ça et là à travers tout le pays lors des élections communales du dimanche dernier par ses challengers directs.
Après la proclamation au petit matin de ce jeudi 21 mai 2020 des résultats provisoires des dernières élections communales et municipales, il convient de retenir que par sa force organisationnelle, sa discipline et son intégrité, l'Union Progressiste s'impose toujours dans l'arène politique nationale comme étant un parti de grande envergure nationale, le premier et le seul parti qui répond véritable aux normes des grands regroupements d'où sera incontestablement issu le prochain Président de la République. Cette leçon que l'Union Progressiste vient une fois encore d'enseigner à ses adversaires du BR est la preuve que le parti maintient sa position de leader et confirme ainsi son ascendance irréversible sur l'échiquier politique national.
39,97% du suffrage exprimé. C'est le score réalisé par l'UP malgré les nombreux cas de fraude avérée et perpétrée ça et là à travers tout le pays lors des élections communales du dimanche dernier par ses challengers directs. Ce chiffre transpose toute la signification du Baobab, l'emblème du parti, qui résiste à toute sorte d'intempérie. Avec ce pourcentage confortable qui lui donne droit à 820 sièges dans les conseils communaux au plan national, l'Union Progressiste décline sa force politique avec le contrôle de plus de communes au Bénin que le BR, et tient en main le gouvernail de deux communes à statut particulier dont la capitale politique (Porto-Novo) et la capitale économique (Cotonou) et rien pour le BR.
En plus de cet exploit politique et historique, l'UP contrôle dans la partie septentrionale du Bénin qui est supposée être le bastion imprenable du BR, certaines communes stratégiques et
Parakou qui est la troisième commune à statut particulier dirigée par un maire BR depuis quatre ans jusqu'aux élections du dimanche dernier bascule aux mains de l'opposition malgré le bourrage des urnes.
Ainsi donc, se plaindre de l'UP auprès du Chef de l'État par rapport au nombre de ministres qu'elle compte au sein du gouvernement et au sujet de ses cadres nommés à divers postes de responsabilité; raser les murs pour faire nommer à tous les conseils des ministres rien que les militants du BR semblent maintenant avoir montré leurs limites.
E. G.
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