La justice béninoise a rendu son verdict dans l'affaire choquante impliquant l'écrivain Constantin AMOUSSOU, reconnu coupable de viol sur une mineure de 14 ans. Après plusieurs mois d'enquête et de détention provisoire, l'homme de lettres a été condamné à une peine de huit ans d'emprisonnement ferme. 

Cette décision marque une étape déterminante dans la lutte contre les violences sexuelles, particulièrement celles perpétrées à l'encontre des filles au Bénin. 

Outre la peine privative de liberté, Constantin AMOUSSOU devra s'acquitter d'une amende de 500.000 francs CFA à l'État béninois, soulignant la gravité de l'infraction. Par ailleurs, une somme équivalente, soit 500.000 francs CFA, sera versée à l'Institut National de la Femme (INF). 

Ce jugement sévère envoie un message fort : l'impunité n'a pas sa place face aux crimes qui brisent l'innocence et l'avenir des enfants. 

La société béninoise, à travers ses institutions judiciaires, réaffirme son engagement à protéger les plus vulnérables et à garantir que justice soit rendue. 

David DOLTAIRE
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