Le Bénin se trouve confronté à un défi majeur qui est la désinformation. En effet, le Centre National d'Investigations Numériques (CNIN) a récemment tiré la sonnette d'alarme à l'égard des administrateurs de groupes Whatsapp, leur signifiant que la diffusion de fausses informations est non seulement préjudiciable à l'harmonie sociale, mais également punissable par la loi. 

En effet, selon l'article 550 du Code du numérique, la propagation de telles informations, notamment celles visant des individus, peut entraîner des peines d'emprisonnement pouvant aller jusqu'à six mois et des amendes s'élevant à un million de francs CFA. 

Le CNIN, par sa mise en garde, s’adresse directement aux gestionnaires de groupes WhatsApp, en soulignant l'importance de leur rôle dans la régulation des échanges au sein de ces plateformes. 

Roger DEDOME
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