Depuis l'avènement de la rupture en 2016, le paysage socio-économique béninois a connu des transformations notables, témoignant d'une volonté politique claire sous l’égide du président Patrice TALON. Les réformes engagées, bien que parfois controversées, se traduisent par des avancées palpables dont il convient ici d'énumérer les bienfaits.
En effet, des projets de développement structurant, s’étendant du nord au sud du pays, témoignent d'une dynamique poussée vers l’avant, prouvant ainsi l'efficacité tangible d'une gouvernance audacieuse.
Le Président TALON, fréquemment la cible d'accusations infondées émanant de ses détracteurs, peut s'enorgueillir d'une majorité populaire acquise à sa cause. Les voix discordantes, souvent portées par des acteurs aux motivations discutables, sont désormais perçues comme des relents d'un passé révolu. Le peuple, conscient des enjeux stratégiques qui l’entourent, se rend compte que l’équipe actuelle est celle capable de devenir le fer de lance d'un Bénin en pleine mutation.
Nul besoin de céder aux sirènes d'un retour en arrière, nuisible et rétrograde. L'opposition, à l’heure actuelle, a le devoir de reconnaître les avancées réalisées et de se montrer constructive plutôt que destructrice. Le temps de la critique stérile est révolu et les béninois ne se laissent plus berner par les promesses d’un passé qu’ils jugent désormais obsolète.
Ainsi, l'équilibre fragile entre continuité et changement sera préservé, à condition d’accepter que le véritable progrès réside dans l’innovation et l’adaptation, et non dans la nostalgie. La dynamique de rupture doit se poursuivre, car c'est cette voie que le peuple a clairement choisie pour un avenir radieux et porteur d'espoirs.
David DOLTAIRE
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