Suite à la dernière tragédie du dimanche 21 avril 2024 sur le lac Nokoué au Bénin, où une pirogue transportant douze passagers a chaviré dans une violente tempête, causant la mort de six personnes, la nécessité d'imposer des gilets de sauvetage à tous les usagers du trafic fluvial devient impérieuse. La répression des normes de sécurité ne devrait pas se limiter aux routes, mais s'étendre également aux transports fluviaux pour prévenir de telles catastrophes à l'avenir. Le gouvernement béninois doit prendre des mesures urgentes pour imposer des gilets de sauvetage à tous les passagers des moyens de transport fluvial. 

La tragédie qui s'est produite le dimanche 21 avril 2024 a profondément secoué le monde, mettant en lumière les dangers auxquels sont exposés les usagers des transports fluviaux. Les passagers, embarqués à Cotonou en direction de Sotchanhoué pour des funérailles, ont été confrontés à une tempête meurtrière au milieu du lac Nokoué, entraînant le chavirement de leur pirogue. Malgré les efforts de sauvetage, six personnes ont perdu la vie, laissant quatre corps récupérés et deux autres toujours portés disparus. 

La nécessité d'équiper tous les usagers du trafic fluvial de gilets de sauvetage devient urgente pour limiter les conséquences des accidents similaires à l'avenir au Bénin. Ces dispositifs de sécurité pourraient faire la différence entre la vie et la mort dans des situations d'urgence telles que des tempêtes imprévues ou des incidents de navigation. 

Imposer le port de gilets de sauvetage à tous les passagers des transports fluviaux contribuerait à sauver des vies et à renforcer la sécurité dans ce mode de transport vital pour de nombreuses communautés. 

Le gouvernement béninois doit agir rapidement pour mettre en place des réglementations strictes visant à garantir la sécurité des passagers et à prévenir de futurs incidents tragiques. Donc, il est nécessaire de prendre des mesures proactives pour éviter la perte inutile de vies humaines et assurer la sûreté des transports fluviaux sur le territoire national. 

David DOLTAIRE
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