Les agitations de ces dernières heures notées chez Rachidi GBADAMASSI, candidat malheureux aux législatives dernières sont désormais du passé car étouffées dans l'œuf. En réalité, il s'observait une crise inventée par certains artificiers de la manipulation  politique au sein du parti BR, le temps d'orchestrer un chamboulement qui aurait pu conduire au départ du SGN Abdoulaye BIO TCHANÉ de la tête du BR. 

Principale revendication figurant dans sa lettre publiée dans les médias. Ce faisant, ils pourraient faire le lobby pour le remplacer par un dirigeant qui leur est proche. Bonjour alors les combines politiciennes insidieuses contre la mouvance dans la perspective électorale de 2026. Ils ont peut-être cru que Patrice TALON est fini. Mais c'est mal le connaître. Or, le Chef de l'État détient les manettes jusqu'au bout. Ils ont lamentablement échoué. Et pour cause. 

Contrairement aux espoirs de ce club, il y règne une cohésion qui barre la route à des manœuvres de ce genre. En tout cas pas avant 2027. C'est une décision qui a filtré de la réunion tenue au sommet du parti le 25 avril 2023. Cette décision est valable pour l'autre parti de la mouvance, l'Union Progressiste le Renouveau, indique nos sources. 

En termes simples, les dirigeants de ces deux partis politiques de la mouvance resteront à la tête quelque soit alpha. Que cela vienne d'un homme comme lui, c'est un fait ordinaire. C'est le contraire qui aurait plutôt étonné plus d'un observateur. Parce que l'ancien maire de Parakou, qui peine ainsi à digérer sa débâcle aux législatives de 2023, est connu pour ces prises de positions problématiques vers la fin des régimes. C'était le cas avec le régime de Yayi BONI. D'ailleurs, son nom était cité dans « l’affaire des 70 millions FCFA » qui a rapport avec le parrainage des élections présidentielles de 2021. 

Des observateurs ont également suspecté sa main invisible dans la tentative de manipulation contre le régime TALON à laquelle on a assisté dès le lendemain de la rencontre  Patrice TALON et producteurs de Soja.  Nombreux pensent que sa colère ne se repose sur aucune base réaliste. C'est pourquoi, il doit prendre conscience de son échec et travailler pour reconquérir son électorat pour les prochaines échéances. 

David DOLTAIRE
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