La communauté noire subsaharienne continue d'être victime en Tunisie d'actes de xénophobie, de violences et de racisme de la part des populations. Ces actes se sont exacerbés depuis le discours subversif délivré par Président tunisien. Un discours condamné par l'Union africaine et bien d'autres Institutions panafricaine. Ce faisant, il a publiquement affiché son opposition radicale contre l’immigration des ressortissants noirs  dans son pays. Des pays sont entrain de rapatrier les leurs. 

Qu'en est-il du cas de ses compatriotes  Béninois? 

Patrice TALON et son gouvernement sont préoccupés, à en croire les dires du Porte-parole lors de sa rencontre de routine avec les animateurs des médias. Le  gouvernement est resté attentif, a-t-il fait savoir sans formule protocolaire. Il convient de se mettre en tête que le ministre des affaires étrangères suit de près la situation même si pour l'heure, le Bénin n’a pas encore opté pour le rapatriement de ses ressortissants contrairement à d'autres pays. 

« Nous avons une petite communauté en Tunisie. C’est essentiellement des étudiants et quelques travailleurs. Nous n’avons pas enregistré en ce moment de besoin de rapatriement formulé. Les services compétents sont en alerte et agiront dès que le besoin se fera sentir. Vous avez très peu de Béninois qui sont dans l’immigration clandestine » a précisé Wilfried Léandre HOUNGBÉDJI 

David DOLTAIRE
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