Il circule sur les réseaux sociaux un post. Ouf! Pardon, un pamphlet nauséabond. Un écrit totalement incongru dans lequel l'auteur a eu l'outrecuidance d'attaquer d'une façon frontale le Porte-parole du gouvernement et, à travers lui, le Chef de l'État. Il a qualifié pour ne prendre que cet exemple d"'idiotes" les explications fournies aux médias par le Secrétaire Général Adjoint et Porte-Parole du gouvernement, pour justifier le fait que le Chef de l'État ne se soit pas rendu au chevet des brûlés de Dassa-Zoumè.
Cet individu auteur du post aurait bénéficié d'un crédit de courage si et seulement si il avait eu le courage d'agir à visage découvert. Mais il a joué au poltron en préférant tout de même verser dans des accusations sans fondement doublées d'une certaine banalité de l'Institution qu'incarne le Président de la République qui plus est, premier Magistrat du pays. Il faut bien le dire. Il n'a fait qu'étaler à la face du monde le caractère nocif de ses idées. Il n'est donc pas exagéré d'affirmer qu'il a affiché son aigreur. Il faut qu'il sache que le Chef de l'État est un Président responsable et par ricochet une Institution républicaine qui mérite respect.
La prompte réaction ainsi que la batterie de mesures que son gouvernement a prises sitôt le drame produit ne valent-elles pas plus qu'une simple visite qui, osons le dire, naurait rien apporte de plus ? Mieux, la prise en charge totale des rescapés et l'identification par test d'ADN des corps des brûlés ordonnées par ses soins ne sont-elles pas des actes qui méritent reconnaissance au lieu de chercher à le diaboliser, de même que ses collaborateurs investis d'une mission républicaine ?
D'ailleurs, qu'est-ce qu'il en sait du mode de fonctionnement du gouvernement pour avancer ces propos si décousus, le fameux CQ ? Il faut qu'il laisse les morts ensevelir leurs morts car les familles ne peuvent jamais tenir ce langage.
Par ailleurs, il faut lui faire observer avec insistance que Wilfried Léandre HOUNGBÉDJI dont il parle souvent avec banalité et calomnie n'est pas un parvenu. Au contraire, il occupe ce post par mérite. Le mésestimer pour des raisons politiciennes pose un problème sérieux. Il va falloir rechercher l'auteur de ce post et l'interner dans un centre psychiatrique le temps d'examiner son état pour en tirer les conclusions.
Voilà un de ceux qu'un journaliste a appelé mercenaires des réseaux sociaux. Parce qu'il semble être un détracteur invétéré et par conséquent porteur d'un virus qui ronge son cerveau. Sinon, c'est au mieux un activiste politique qui devrait avoir le courage d'assumer son statut au lieu de jouer les journalistes.
Allô Docteur au secours !
David DOLTAIRE
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