À quoi jouent réellement les dirigeants du parti de l'opposition radicale mieux connu sous l'appellation de "Les Démocrates".  Voilà la question qui taraude les esprits ces dernières heures. On se demande aussi de quelle intention ils sont mus. Tout porte à le croire au regard de leurs agissements.  

Selon nos sources bien renseignées, ces derniers envisageraient une nouvelle stratégie. Une fois ne sachant comment assumer la débâcle qu'ils ont enregistrée à ces élections, leur trouvaille actuellement serait une agitation voire une manipulation de l'opinion publique. Ceci, en préparant une couleuvre qui ne saurait être avalée. Celle de chanter sous les toits que le refus de la Cour constitutionnelle à autoriser la CENA de leur fournir les documents électoraux qu'ils réclament supposerait une défaite des partis politiques soutenant les actions du régime TALON. 

À ce sujet, ils auraient sollicité, indiquent les mêmes sources, les services nauséabonds de deux activistes de la société civile dans la perspective de mettre en musique leur stratégie. Une manière qui non seulement frise de l'irresponsabilité mais aussi celle de mauvais perdant. Les deux noms qui circulent sans risque de se tromper sont Jean-Baptiste ELIAS et Kemi SÉBA. Ils auraient eu ensemble des séances histoire d'examiner la stratégie d'action et le mode opératoire. 

Il faut dire, après analyse, qu'ils font fausse route car ils sont censés avoir les documents qu'ils réclament par le biais de leurs délégués positionnés dans les centres de vote. Mais pourquoi s'abstiennent-ils à publier les chiffres qu'ils ont à leur possession ? C'est l'autre interrogation que suscite leur attitude. Or, cela aurait pu aider les uns et les autres à faire les comparaisons susceptibles aux éleveurs de situer le niveau de fraude si cela s'avérait effectif. 

Éric HOUNDÉTÉ et les siens sont censés savoir tout ceci au lieu de s'obstiner à emprunter une mauvaise route. À défaut, ils n'auraient pas l'accompagnement du peuple car il n'est pas dupe. La Cour Constitutionnelle a déjà parlé et il est tant que tout le monde se range. Point final. 

David DOLTAIRE
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